« Accepter sa condition de mortel est une libération.
Je vous propose un mode d’emploi.
Il s’agit d’apprivoiser la mort. Cesser de trembler face à sa finitude permet de vivre enfin pour de vrai, de s’engager sans réserve, de relever les défis, d’avoir une existence riche et pleine de sens.
Car là, il ne s’agit plus de durer, il s’agit de vivre, pleinement.
Une vie se juge aussi sur la façon dont on meurt. Veut-on que son trépas se déroule dans l’angoisse, la souffrance, l’indignité, comme c’est trop souvent le cas, ou bien préfère-t-on avoir son mot à dire sur le moment et les modalités de sa mort ? Certains pays le permettent, d’autres non. L’affaire est chaude… » G. A.